
La majorité des candidats au rachat de Castrol se sont retirés, ne laissant que le fonds américain One Rock Capital Partners en lice, bien que l’accord ne soit pas encore finalisé. BP cherche à vendre sa division lubrifiants, sous pression d’Elliott Management, et espérait en tirer 10 milliards de dollars. D’autres actifs sont aussi à vendre, comme Lightsource bp et une raffinerie en Allemagne.
Des acteurs majeurs comme Saudi Aramco et Reliance Industries ont abandonné l’acquisition, malgré leur potentiel stratégique. Les offres reçues jusqu’ici sont inférieures aux attentes de BP.
Castrol, bien que très rentable, a réduit ses activités industrielles pour se concentrer sur le marché des consommateurs, un choix remis en question face à la montée des véhicules électriques. Sa forte association avec le secteur automobile pourrait aussi nuire à sa valorisation. Contrairement à ses concurrents intégrés, Castrol dépend de fournisseurs externes pour ses matières premières.
En savoir plus sur Fluides et Lubrifiants
Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.